Demain je te rejoins
Que j’aimais regarder ta blanche peau complice
De nos caresses nues presque jusqu’aux supplices
Ton corps contre le mien nous était nécessaire
Mon cœur contre le tien pour battre de concert
J’aimais aussi tes yeux leur éclatant sourire
Que tes cheveux frisés venaient à recouvrir
Tes lèvres m’envoyaient des baisers en silence
Et je leur témoignais amour et prévenance
Puis l’automne est passé et de ta chevelure
Il a pris la couleur laissant sur ta figure
L’empreinte d’un hiver qui ne finirait pas
Demain je te rejoins dans cet éternel froid
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