La frontière du trépas

Quand la nuit s’illumine de ce qu’on ne peut voir,
De ces couleurs mutines par delà le miroir,
Quand il n’y a plus rien que cette éternité
Qui embrasse en son sein les âmes dépitées,
Il n’est plus que la soif et l’envie de goûter
Aux choses qu’on dégrafe et autres voluptés.

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