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Le cavalier sans tête

Toujours les terres dures ont fait pousser l’amour Sur des sillons nourris de générosité. Ainsi, par le labeur plutôt que par discours, L’Auvergne s’est construite en solidarité.

Un cavalier sans tête, sur un cheval aussi noir que ses propres vêtements, avance au galop sur un chemin boueux sous une pluie d'orage.

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Un cavalier sans tête, sur un cheval aussi noir que ses propres vêtements, avance au galop sur un chemin boueux sous une pluie d'orage.

Toujours les terres dures ont fait pousser l’amour Sur des sillons nourris de générosité. Ainsi, par le labeur plutôt que par discours, L’Auvergne s’est construite en solidarité.

by Jean-Christophe Mojard, juin 15, 2025

Un cavalier sans tête, sur un cheval aussi noir que ses propres vêtements, avance au galop sur un chemin boueux sous une pluie d'orage.

Auvergne : la légende du bonhomme sans tête, par Juliette Norel Depuis plusieurs mois, mon co-auteur et moi nous aventurons ensemble dans les méandres des légendes parfois oubliées. Des terres bretonnes aux volcans endormis d’Auvergne, ces récits anciens traversent les âges, porteurs d’une mémoire collective qui enrichit notre patrimoine.

Femme de dos portant un jean lui moulant les fesses.

Lorsque ma main descend, en sa lente caresse, Sur le galbe léger qui souligne tes fesses, Je sens monter en moi comme une ébullition : Un magma de chaleur enfle mon pantalon.

by Jean-Christophe Mojard, juin 11, 2025

Gros plan d'une corde enroulée autour d'un moyeu de bois.

Il empile des mots, incertains, maladifs, Gravés sur son bureau à grands coups de canif. À côté le stylo gît décapuchonné ; Sur la pointe en biseau l’encre noire a séchée.

by Jean-Christophe Mojard, juin 10, 2025

Peintre en train de travailler dans un paysage de cerisier. au loin d'un chemin de terre, une église et son clocher.

Le Soleil se levait au clocher de l’église,  Comme dans un tableau aux couleurs de Monet, Et j’ai goûté sa peau, à saveur de cerise, Encore enveloppée d’une humide rosée.

by Jean-Christophe Mojard, mai 30, 2025

Aquarelle digitale, silhouette feminine de profil, à l'encre bleue.

Lentement, les couleurs des souvenirs s’étirent, Délavées, absorbées quand trop d’eau les attire, Se fondant au papier au fil des émotions En de vagues gondoles par trop de dilution.

by Jean-Christophe Mojard, mai 29, 2025

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