Snook by KUSA Projects

Le cavalier sans tête

Toujours les terres dures ont fait pousser l’amour Sur des sillons nourris de générosité. Ainsi, par le labeur plutôt que par discours, L’Auvergne s’est construite en solidarité.

Un cavalier sans tête, sur un cheval aussi noir que ses propres vêtements, avance au galop sur un chemin boueux sous une pluie d'orage.

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Deux tasses de café sur une planche de bois.

Encore un jour passé Encore un jour sans toi Deux tasses de café Une seule est pour moi

by Jean-Christophe Mojard, mars 10, 2025

Une pendule blanc cassé sur fond noir

Je regarde s’enfuir en ronde ridicule, Ce temps toujours perdu, qui court dans la pendule. Et, dérive en ces heures, blêmes, qui m’emportent, En chanson de l’automne que Verlaine m’apporte.

by Jean-Christophe Mojard, mars 10, 2025

Photographie en double exposition d'une femme battues un bandeau FURY sur les yeux.

Le cyclone était passé au-dessus d’elle sans encombre pour le moment, mais elle n’était pas tirée d’affaire pour autant. Elle ne le connaissait que trop bien et se savait dans l’œil. Un calme relatif avant un nouveau déchaînement de sa furie masculine. Il avait un nom, Pascal, et c’était son mari…

by Jean-Christophe Mojard, mars 09, 2025

Le journal d’un barbier sur le fil du rasoir - 02

Bonjour les amis : Ça me fait réellement plaisir de vous retrouver parce que j’ai une super nouvelle à vous annoncer : on parle de moi sur BFMTV ! Maintenant, j'ai le droit au sextuple homicide et tenez-vous bien, au titre de L’égorgeur de Nay !

by Jean-Christophe Mojard, mars 09, 2025

Le Kyklos, vue du complexe abandonné à Port Leucate, grand bâtiment en ruine en bord de plage.

La gifle de son souvenir lui lacéra l’esprit, telle une lame acérée. Ni le rat fuyant à travers les détritus ni le murmure du vent s’engouffrant par les carreaux brisés n’avaient suscité une telle frayeur.

by Jean-Christophe Mojard, mars 09, 2025

Une barbier en chemise rouge et gilet noir, cheveux hirsutes, il a un sourire sardonique.

Le plus dur n’est pas de tuer quelqu’un, c’est même le plus facile. Ça n’est pas non plus vivre avec le poids du crime sur la conscience. La conscience, je peux vous garantir qu’elle a une sacrée faculté d’adaptation. Non, le plus dur, c’est de se débarrasser de ce putain de corps.

by Jean-Christophe Mojard, mars 09, 2025

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